Les enjeux liés au climat sont un défi mondial et pour Apicil, s’engager dans la transformation écologique est une évidence, en phase avec notre raison d’être : “par une relation proche et attentionnée, soutenir toutes les vies, toute la vie”.
C’est donc tout naturellement que nous nous sommes associés à l’initiative du Grand Défi, qui fédère réseaux d’entreprises, syndicats, associations et institutions, scientifiques, dirigeants, étudiants ou citoyens avec un engagement commun : faire 100 propositions de mesures pour accélérer la transition écologique de l’économie et des entreprises.
S’impliquer dans la transformation écologique, mais comment ?
La transformation écologique est la condition sine qua non de la pérennité des entreprises, elles sont par conséquent un maillon essentiel de la lutte contre le dérèglement climatique et la chute de la biodiversité. Ce grand défi des entreprises pour le climat se constitue en 3 étapes
Dans un premier temps, des acteurs du monde économique et de l’entreprise ont formulé leurs freins, besoins et propositions pour accélérer la transition écologique.
A l’issue de cette consultation, les représentants de 150 entreprises françaises répartis en 3 collèges (salariés, dirigeants et actionnaires) ont échangé pendant 6 sessions plénières pour élaborer les propositions. C’est lors de cette phase que les réflexions des collaborateurs du groupe, portées par sa déléguée Valentine Stichelbaut, sont venues enrichir celles développées lors des séances plénières.
Ces propositions viennent d’être présentées au Conseil économique social et environnemental et ouvrent la dernière étape, celle de leur diffusion.
Face à ce grand défi, quelles actions pour les entreprises ?
Les propositions concernent l’entreprise elle-même mais aussi son environnement territorial, sectoriel ou législatif. Elles prennent en compte toutes les dimensions nécessaires à la transition écologique. Ce sont des propositions concrètes, directement applicables par l’entreprise, en relation avec son modèle d’affaires ou son organisation, mais aussi des mesures d’accompagnement, de coordination, de planification territoriale ou d’orientation des politiques publiques. Elles s’appuient sur 3 niveaux de mise en œuvre
Dans un premier lieu, directement applicables par les entreprises en interne, comme par exemple intégrer l’environnement dans la gouvernance des entreprises en faisant siéger un.e directeur.ice RSE au COMEX.
Deuxièmement, en s’appuyant sur une adaptation des programmes d’enseignement, de recherche et formation. Ainsi, on pourrait instaurer une formation obligatoire et certifiante aux enjeux écologiques pour les nouveaux administrateurs d’entreprises ou lors de leur renouvellement.
Enfin, en procédant à des ajustements réglementaires et législatifs, qui permettraient par exemple de conditionner les aides publiques au respect des critères environnementaux et sociaux.
Ce ne sont là que quelques-unes de la centaine de propositions du collectif.
Vous pouvez les consulter dans leur intégralité, en téléchargeant :